Go Ask Alice

20 juillet 2010

Alice
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Puisqu'on me demande de décrire Alice, autant le faire à blog ouvert.

Alice, donc. Alice ambassadrice du pays des merveilles. :) Je connais Alice depuis un peu moins de deux ans. C'était, à l'époque, une amie d'amie d'ami dont j'ai découvert la vie et l'œuvre par blogs interposés. Je ne l'ai jamais rencontrée en chair et en os (patience, patience!), et me trouve bien en peine lorsqu'elle me demande de la décrire en quelques lignes... Mais je veux bien essayer.

Ce qui me complique un peu plus la tâche, c'est qu'elle a pas mal évolué depuis que je l'ai connue, plus ou moins de la même façon que moi, je pense ; elle quitte peu à peu cette peau d'"adolescente" dans elle vivait quand je l'ai rencontrée. Alice est donc autocritique, et sait garder un recul sur elle-même et se remettre en question.

Oui, car Alice se pose beaucoup de questions (trop?). Loin d'accepter docilement la réalité telle qu'on voudrait la lui présenter, elle réfléchit sur le monde qui l'entoure, même quand c'est finalement pour cracher dessus - avec une grande ouverture d'esprit, des valeurs et des principes.

Néanmoins, Alice est drôle. Autodérision ou dérision des autres, elle a un putain de sens de l'humour qui rend nos conversations bien groovy.

Et en creusant un peu derrière cet humour et ce jugement acéré, on trouve une grande sensibilité, tant artistique qu'humaine ; parce qu'Alice est une âme mouvante et réceptive ; et cette phrase n'est pas très claire, mais GNAGNAGNA je me comprends.

Je me permets d'ajouter qu'Alice est ostensiblement bandante. Certes, c'est un détail qu'elle ne fera peut-être pas figurer dans son dossier d'admission à l'université ; mais Alice est un cadeau de Mère Nature pour le monde. :D Voilà, voilà. J'espère t'avoir aidée un peu dans ta quête spirituelle de toi-même, et surtout ne pas être trop à côté de la plaque dans ma description. Bon courage, poulette. ♥

Les plus subtils auront bien sûr noté la référence du titre. Vous pouvez également aller rendre visite à Alice si le cœur vous en dit. Et si vous n'aimez pas le rock psychédélique, il ne vous reste plus qu'à aller écouter mon copain se lamenter dans un micro. (C'était la minute "remerciement des sponsors".)